Productions
LOGOBDPC

EXODUS, LA FABLE DES ANIMAUX VOYAGEURS

2025

Exodus, la fable des animaux voyageurs est une création chorégraphique qui aborde avec force et poésie les enjeux migratoires contemporains. Dans un monde traversé par les conflits, le dérèglement climatique et les crises humanitaires, cette pièce propose un regard sensible et métaphorique sur les parcours de celles et ceux qui quittent tout pour survivre, fuir, espérer.

S’inspirant de l’univers des fables de La Fontaine, Exodus met en scène des animaux symboliques en mouvement, traversant des paysages oniriques et abstraits. Chaque personnage, chaque interaction devient une allégorie vivante des émotions liées à l’exil : l’espoir, la peur, le courage, la perte, l’accueil ou encore l’indifférence. Le corps devient langage, et la scène un espace de narration où s’entrelacent fable et réalité.

Nourrie de témoignages authentiques et d’un travail de documentation mené avec des chercheurs, la pièce donne voix à celles et ceux que l’on entend peu, en transformant les données froides en récits incarnés. Exodus ne cherche pas à illustrer, mais à faire ressentir, à questionner, à ouvrir une brèche d’empathie.

Portée par un langage chorégraphique puissant et accessible, cette œuvre s’adresse à tous les publics et invite à une réflexion collective sur notre rapport à l’autre, à l’hospitalité et à la solidarité. Une fable dansée pour faire résonner, autrement, les grandes migrations de notre temps — et rappeler que derrière chaque trajet, il y a une histoire humaine.

EXODUS, LA FABLE DES ANIMAUX VOYAGEURS

2025

Exodus, la fable des animaux voyageurs est une création chorégraphique qui aborde avec force et poésie les enjeux migratoires contemporains. Dans un monde traversé par les conflits, le dérèglement climatique et les crises humanitaires, cette pièce propose un regard sensible et métaphorique sur les parcours de celles et ceux qui quittent tout pour survivre, fuir, espérer.

S’inspirant de l’univers des fables de La Fontaine, Exodus met en scène des animaux symboliques en mouvement, traversant des paysages oniriques et abstraits. Chaque personnage, chaque interaction devient une allégorie vivante des émotions liées à l’exil : l’espoir, la peur, le courage, la perte, l’accueil ou encore l’indifférence. Le corps devient langage, et la scène un espace de narration où s’entrelacent fable et réalité.

Nourrie de témoignages authentiques et d’un travail de documentation mené avec des chercheurs, la pièce donne voix à celles et ceux que l’on entend peu, en transformant les données froides en récits incarnés. Exodus ne cherche pas à illustrer, mais à faire ressentir, à questionner, à ouvrir une brèche d’empathie.

Portée par un langage chorégraphique puissant et accessible, cette œuvre s’adresse à tous les publics et invite à une réflexion collective sur notre rapport à l’autre, à l’hospitalité et à la solidarité. Une fable dansée pour faire résonner, autrement, les grandes migrations de notre temps — et rappeler que derrière chaque trajet, il y a une histoire humaine.

PICA, LE MINOTAURE ET SES MUSES

2023

Pica, le Minotaure et ses Muses dresse les portraits singuliers des femmes qui ont influencé le travail de Picasso. Chacune est le reflet de son génie artistique et chacune correspond à une face d’amour du peintre dont lui-même est prisonnier. Sources d’inspiration, ces muses ont aidé le peintre à s’inscrire chaque fois dans un nouvel élan artistique, voire avant-gardiste.

La pièce est un combat entre l’artiste et le monstre. Le travail chorégraphique invite ici chaque visiteur à parcourir l’oeuvre de Picasso et à voyager dans l’esprit même de l’artiste. Ce récit chorégraphique et musical est un voyage imaginaire où le Minotaure, image omniprésente chez Picasso, n’est pas genré, il est objet divin. Depuis la position des statues, dont la chorégraphie s’inspire pour les mettre en mouvement, les corps des danseurs hommes et femmes sont neutralisés et se décomposent au fur et à mesure de la pièce. 

Dans un univers féminin et intime des quatre femmes, une violence et une animalité s’éveillent dans les corps des interprètes puis s’unissent par le souffle et la puissance de la danse.

PICA, LE MINOTAURE ET SES MUSES

2023

Pica, le Minotaure et ses Muses dresse les portraits singuliers des femmes qui ont influencé le travail de Picasso. Chacune est le reflet de son génie artistique et chacune correspond à une face d’amour du peintre dont lui-même est prisonnier. Sources d’inspiration, ces muses ont aidé le peintre à s’inscrire chaque fois dans un nouvel élan artistique, voire avant-gardiste.

La pièce est un combat entre l’artiste et le monstre. Le travail chorégraphique invite ici chaque visiteur à parcourir l’oeuvre de Picasso et à voyager dans l’esprit même de l’artiste. Ce récit chorégraphique et musical est un voyage imaginaire où le Minotaure, image omniprésente chez Picasso, n’est pas genré, il est objet divin. Depuis la position des statues, dont la chorégraphie s’inspire pour les mettre en mouvement, les corps des danseurs hommes et femmes sont neutralisés et se décomposent au fur et à mesure de la pièce. 

Dans un univers féminin et intime des quatre femmes, une violence et une animalité s’éveillent dans les corps des interprètes puis s’unissent par le souffle et la puissance de la danse.

NÔ SEX

À VENIR - 2024

NÔ SEX est une création en cours de David LLARI. NÔ SEX aborde la question des liens affectifs que l’Être humain peut entretenir avec les poupées robotisées dotées d’intelligence artificielle.

Les machines ont toujours eu la fonction de se substituer à l’Homme dans le traitement des tâches difficiles du quotidien.

Mais, aujourd’hui, elles peuvent le soulager dans ses carences affectives. Elles offrent la satisfaction immédiate d’une relation non contrariée, non négociée, réflexive, à la façon du miroir de la sorcière de Blanche-Neige. La solitude est comblée par la présence de cet autre moi prenant les apparences d’un(e) autre.

Sans s’en rendre compte, bercé par l’illusion d’une liberté dans les mondes virtuels, l’Homme s’enferme de plus en plus dans une solitude suicidaire pour la société. En effet, le renouvellement de notre espèce ne peut se concevoir qu’à travers la rencontre de l’autre, au risque de la différence.

L’écriture de NÔ SEX repose sur une collaboration avec des chercheurs en sociologie et nouvelles technologies.

NÔ SEX

À VENIR - 2024

NÔ SEX est une création en cours de David LLARI. NÔ SEX aborde la question des liens affectifs que l’Être humain peut entretenir avec les poupées robotisées dotées d’intelligence artificielle.

Les machines ont toujours eu la fonction de se substituer à l’Homme dans le traitement des tâches difficiles du quotidien.

Mais, aujourd’hui, elles peuvent le soulager dans ses carences affectives. Elles offrent la satisfaction immédiate d’une relation non contrariée, non négociée, réflexive, à la façon du miroir de la sorcière de Blanche-Neige. La solitude est comblée par la présence de cet autre moi prenant les apparences d’un(e) autre.

Sans s’en rendre compte, bercé par l’illusion d’une liberté dans les mondes virtuels, l’Homme s’enferme de plus en plus dans une solitude suicidaire pour la société. En effet, le renouvellement de notre espèce ne peut se concevoir qu’à travers la rencontre de l’autre, au risque de la différence.

L’écriture de NÔ SEX repose sur une collaboration avec des chercheurs en sociologie et nouvelles technologies.

LA BÊTE DU VACCARÈS

2021

La création de David Llari, avec le conseil de Frédéric d’Agay, auteur et historien spécialiste de la Provence, interprétée par le BDPC, s’inspire du célèbre roman de Joseph d’Arbaud, grand poète provençal, héritier de Frédéric Mistral.

La bête du Vaccarès est un récit emblématique de la Provence et de la Camargue, qui s’inscrit plus largement dans une culture méditerranéenne plurimillénaire. C’est l’histoire d’un être mi-homme, mi- bouc, le dieu Pan, chassé depuis la Grèce et qui de rivage en marais, d’étangs en paluds, de plages en embouchures, est arrivé en Camargue, la terre qui a aussi accueilli la barque des Saintes. Sur les rives de l’étang du Vaccarès, un gardian découvre ses traces mystérieuses sur le sable.

C’est le récit d’une rencontre, celle de l’orient et de l’occident, du monde païen et du monde chrétien… Celle du faune, du satyre et d’un Homme de la terre, de l’eau, qui connaît les bêtes. Cette rencontre bouleverse les certitudes et les croyances du Gardian. Il peut alors accéder à un monde où la vérité n’a de sens que si elle est librement pensée.

LA BÊTE DU VACCARÈS

2021

La création de David Llari, avec le conseil de Frédéric d’Agay, auteur et historien spécialiste de la Provence, interprétée par le BDPC, s’inspire du célèbre roman de Joseph d’Arbaud, grand poète provençal, héritier de Frédéric Mistral.

La bête du Vaccarès est un récit emblématique de la Provence et de la Camargue, qui s’inscrit plus largement dans une culture méditerranéenne plurimillénaire. C’est l’histoire d’un être mi-homme, mi- bouc, le dieu Pan, chassé depuis la Grèce et qui de rivage en marais, d’étangs en paluds, de plages en embouchures, est arrivé en Camargue, la terre qui a aussi accueilli la barque des Saintes. Sur les rives de l’étang du Vaccarès, un gardian découvre ses traces mystérieuses sur le sable.

C’est le récit d’une rencontre, celle de l’orient et de l’occident, du monde païen et du monde chrétien… Celle du faune, du satyre et d’un Homme de la terre, de l’eau, qui connaît les bêtes. Cette rencontre bouleverse les certitudes et les croyances du Gardian. Il peut alors accéder à un monde où la vérité n’a de sens que si elle est librement pensée.

ARISTOPHANE

2020

Le spectacle Aristophane, créé en 2020, offre une perspective intéressante sur le mythe du même nom, où Zeus aurait séparé les hommes et les femmes. En revisitant ce récit ancien, le spectacle explore les thèmes de l’identité, de l’amour et de la complémentarité entre les genres.

L’un des aspects clés du spectacle est la mise en valeur du parcours d’une femme, Elena Thomas sur le point de donner la vie. La chorégraphie met en évidence le pouvoir et la beauté de la maternité, en montrant comment une femme enceinte détient en elle deux êtres vivants, lui conférant ainsi un lien privilégié avec le divin. Cette idée souligne la puissance créatrice et la dualité de la vie elle-même.

La durée du spectacle, qui est un duo de 40 minutes, permet une exploration concise mais intense de ces thématiques. La performance artistique, combinant mouvements chorégraphiques, musique de Franck 2 Louise et dans une scénographie épurée, offre une expérience immersive aux spectateurs, les invitant à réfléchir sur les concepts abordés et à ressentir une gamme d’émotions.

ARISTOPHANE

2020

Le spectacle Aristophane, créé en 2020, offre une perspective intéressante sur le mythe du même nom, où Zeus aurait séparé les hommes et les femmes. En revisitant ce récit ancien, le spectacle explore les thèmes de l’identité, de l’amour et de la complémentarité entre les genres.

L’un des aspects clés du spectacle est la mise en valeur du parcours d’une femme, Elena Thomas sur le point de donner la vie. La chorégraphie met en évidence le pouvoir et la beauté de la maternité, en montrant comment une femme enceinte détient en elle deux êtres vivants, lui conférant ainsi un lien privilégié avec le divin. Cette idée souligne la puissance créatrice et la dualité de la vie elle-même.

La durée du spectacle, qui est un duo de 40 minutes, permet une exploration concise mais intense de ces thématiques. La performance artistique, combinant mouvements chorégraphiques, musique de Franck 2 Louise et dans une scénographie épurée, offre une expérience immersive aux spectateurs, les invitant à réfléchir sur les concepts abordés et à ressentir une gamme d’émotions.

SLAVE

2016

A travers les relations que l’Homme entretient avec les machines, David LLARI interroge la condition de l’Homme dans la société moderne. Comment les notions de liberté et de soumissions sous-tendent elles les enjeux sociétaux contemporains ? Comment chacun de nous est l’objet de l’Histoire ? Commun chacun de nous est amené à répéter, malgré lui, les comportement dominants – dominés, de ceux qui l’ont précédé ? Jusqu’où l’Histoire d’un groupe conditionne-t-elle l’individu ?

SLAVE a été conçu sur une musique de Frank 2 Louise.
En 2016, SLAVE a remporté le Prix de la Critique au Concours international Choreography’30 d’Hanovre.
SLAVE a tourné sur plus de 40 dates en 2018.

Soutiens et partenaires : Ballet National de Marseille, Centre Culturel La Busserine, Théâtre du Merlan, KLAP à Marseille, IADU/Villette

SLAVE

2016

A travers les relations que l’Homme entretient avec les machines, David LLARI interroge la condition de l’Homme dans la société moderne. Comment les notions de liberté et de soumissions sous-tendent elles les enjeux sociétaux contemporains ? Comment chacun de nous est l’objet de l’Histoire ? Commun chacun de nous est amené à répéter, malgré lui, les comportement dominants – dominés, de ceux qui l’ont précédé ? Jusqu’où l’Histoire d’un groupe conditionne-t-elle l’individu ?

SLAVE a été conçu sur une musique de Frank 2 Louise.
En 2016, SLAVE a remporté le Prix de la Critique au Concours international Choreography’30 d’Hanovre.
SLAVE a tourné sur plus de 40 dates en 2018.

Soutiens et partenaires : Ballet National de Marseille, Centre Culturel La Busserine, Théâtre du Merlan, KLAP à Marseille, IADU/Villette